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dimanche 18 mai 2025
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Football : installation du collège technique national ce mardi

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La Fédération algérienne de football (FAF) procédera, ce mardi 12 décembre, au Centre technique national (CTN) de Sidi Moussa, à l’installation du Collège technique national, a indiqué lundi l’instance.

Le Collège technique national est un organe consultatif présidé par le Directeur technique national (DTN), Ameur Mansoul.

Il sera composé d’environ une soixante de techniciens travaillant dans différentes structures du football national, tels que les sélectionneurs nationaux, les directeurs de département de la DTN, les Directeurs techniques régionaux (DTR), les Directeurs techniques de wilaya (DTW), et les 16 Directeurs techniques sportifs (DTS) des clubs professionnels, est-il précisé dans le communiqué publié par la FAF sur son site officiel.

Pour rappel, le Collège technique national est mis en forme conformément au Décret exécutif no 14-330 du 27 novembre 2014 fixant les modalités d’organisation et de fonctionnement des fédérations sportives nationales ainsi que leur statut-type.

La cérémonie d’installation du Collège technique national sera présidée par Walid Sadi, président de la Fédération algérienne de football, dans le prolongement de la décision n 073 signée le 4 décembre 2023 définissant le président et les membres dudit collège, a conclu la même source.

« Nous avons fixé au mardi 12 décembre la tenue du collège technique national, un rendez-vous au cours duquel il sera question de débattre plusieurs points pertinents liés à la discipline », avait affirmé le président de la FAF Walid Sadi, le 30 novembre dernier.

Gaza: l’OMS réclame une aide humanitaire immédiate

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L'OMS s'inquiète de la situation à Gaza

Le Conseil exécutif de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a adopté, hier dimanche par consensus une résolution réclamant une aide humanitaire immédiate pour Gaza.

Alors que le Conseil de sécurité de l’ONU a échoué à exiger un cessez-le-feu dans la bande de Ghaza, du fait du véto des Etats-Unis, les 34 pays membres du Conseil exécutif de l’OMS appellent tous au « passage immédiat, durable et sans entrave de l’aide humanitaire » dans cette enclave palestinienne.

La résolution demande d’octroyer des autorisations de sortie aux patients, de fournir des médicaments et du matériel médical pour les civils, et de permettre à toute personne privée de liberté d’avoir accès aux soins médicaux.

La résolution des 34 pays membres du Conseil exécutif dit en outre sa « grave préoccupation » quant à la situation humanitaire et aux « destructions généralisées », et appelle à la protection de tous les civils.

Droits de l’homme : L’ONU appelle à revenir à «l’esprit» de la Déclaration universelle

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Eleanor Roosevelt, exhibant le texte de la déclaration universelle des droits de l'homme.

L’ONU a appelé, ce lundi 11 décembre, la communauté internationale à surmonter la « polarisation » actuelle en revenant à « l’esprit » de la Déclaration universelle des droits de l’homme, signée il y a exactement 75 ans.

Cette déclaration « a démontré sa puissance et son efficacité au fil des décennies », a souligné le Haut-Commissaire aux droits de l’homme, Volker Türk, lors d’un événement organisé à Genève en présence de représentants des États et de défenseurs des droits humains. Cet anniversaire est « un appel à revenir à l’esprit qui a conduit chaque État membre à adopter la Déclaration universelle », a-t-il ajouté.

« À une époque où la solidarité est si peu présente et où les divisions et les visions à court terme sont si nombreuses, je le considère comme un appel à surmonter la polarisation. Un appel à travailler ensemble, avec courage et principes, pour relever les immenses défis auxquels nous sommes confrontés », a-t-il dit.

La dimension universelle des droits de l’homme

La Déclaration, sans valeur contraignante, affirme la primauté des droits et libertés des individus sur les droits des États, en gravant les droits économiques, sociaux et culturels au même rang que les libertés civiles et politiques. Les droits de l’homme ne doivent plus être une question d’ordre intérieur, comme Hitler l’avait revendiqué pour empêcher toute ingérence étrangère, mais une question « universelle ».

Mais 75 ans après, certains pays, la Chine en tête, questionnent toujours plus fort le caractère universel des droits humains. Le Haut-Commissaire a répondu lundi à ces critiques, affirmant que la Déclaration des droits de l’homme était empreinte de nombreuses valeurs issues du monde entier.

C’est « un fleuve alimenté par de nombreux ruisseaux », a-t-il assuré, citant notamment les « valeurs africaines » de coopération et de responsabilité collective, les libertés du siècle des Lumières, le principe de la « zakat » (aumône) de l’islam, ou encore les traditions spirituelles d’Asie.

Une déclaration apportant de l’espoir après la fin de la Seconde Guerre mondiale

Adoptée à Paris le 10 décembre 1948, la Déclaration universelle, ambition humaniste mondiale affichée peu après la victoire des Alliés sur les Nazis, est l’une des premières grandes réalisations de la toute nouvelle Organisation des Nations unies.

Le texte « a été élaboré à une époque baignée par l’horreur, après le massacre de masse le plus monstrueux que le monde ait jamais connu, sous la forme de l’Holocauste, et avec la certitude que la destruction totale se rapprochait de plus en plus », a rappelé Volker Türk.
La déclaration a apporté de « l’espoir » après la Seconde Guerre mondiale, a-t-il dit, tout en déplorant que, 75 ans après, les droits de l’homme continuent d’être violés dans le monde, engendrant notamment des guerres, la famine et l’oppression.

RFI

Il est sous contrôle judiciaire depuis 7 mois : Karim Tabbou dénonce

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Karim Tabbou

Karim Tabbou, coordinateur de l’UDS, non encore agréé est sous contrôle judiciaire depuis le mois de mai dernier. Soit 7 mois. Depuis 7 longs mois, il est obligé de signer auprès de la police.

Ce matin, à la sortie du commissariat, Karim Tabbou a posté sur sa page Facebook un message dans lequel il dénonce cet état de fait, mais s’interroge aussi sur les raisons de cet acharnement judiciaire, lui qui a connu la prison du pouvoir.

« Episode 26, saison 4 », en référence à ces longs mois de contrôle judiciaire. Par ailleurs, il s’est interrogé sur « le réalisateur », mais aussi sur « le lieu du scénario ».

A rappeler que Karim Tabbou a été arrêté suite à à son passage dans l’émission MicroScoop de la chaîne Al-Magharibia aux côtés de l’ancien président tunisien Moncef  Marzouki. Lors de ce débat diffusé le 7 mai dernier autour du thème «Maghreb, entre crises des régimes et espoirs des peuples», Tabbou avait rendu responsable le régime algérien de la crise qui mine le pays.

Il a été placé sous contrôle judiciaire par le procureur de la République près le tribunal de Koléa dans la wilaya de Tipaza, le 25 mai 2023.

Atteintes aux libertés : plusieurs militants condamnés

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La répression des militants se poursuit

La répression des militants politiques se poursuit. La semaine dernière, comme ce début de semaine, plusieurs accusés ont défilé devant les juges.

A Alger, le juge d’instruction près du tribunal de Sidi M’Hamed, Alger, a ordonné le placement de l’activiste, Kamel Boukhsaine, sous mandat de dépôt. Il a été arrêté le 03 décembre dernier et maintenu en garde à vue puis il a été procédé à la perquisition de son domicile familial. Selon le CNLD, il serait poursuivi sur la base de l’article 87 bis du code pénal.

A Blida, le tribunal criminel de première instance a condamné, le 10 décembre, le détenu d’opinion, Abdelkader Slimani, à 03 ans de prison ferme. Le détenu est en prison depuis novembre 2022. Il est poursuivi par des lourdes accusations sur la base de l’article 87 bis du code pénal et sont liées à ses publications Facebook.

A Annaba, le parquet près du tribunal de la ville avait requis, la semaine dernière, à l’encontre de l’ex-détenu d’opinion, Brahim Bousmina, 06 mois de prison ferme et 50 000 dinars d’amende. Le CNLD, précise que le procès est en opposition à une condamnation par contumace à la même peine et que le verdict est attendu pour le 19 décembre prochain. Il faut rappeler que le tribunal d’Annaba a condamné par contumace le dimanche, 27 août 2023, l’ex-détenu d’opinion, Brahim Bousmina, à 06 mois de prison ferme et à 50 000 dinars d’amende. Il est poursuivi pour  » attroupement non-armé ».

A Bgayet, le parquet près de la cour de Bgayet a requis, le 10 décembre passé, l’aggravation de la peine à l’encontre des trois prévenus, en l’occurrence l’ex-détenu d’opinion, Bilal Imokrane, ainsi que Hakim Belkaid et Djamel Bouktit. L’affaire est mise en délibéré pour le 24 décembre 2023. Pour rappel, le détenu d’opinion, Bilal Imokrane, a été condamné par le tribunal correctionnel d’Akbou, wilaya de Bgayet, à une année de prison ferme, dont six mois avec sursis. Les deux autres personnes citées dans le même dossier, Hakim Belkaid et Djamel Bouktit ont été acquittés.

A Sétif, la cour d’appel a confirmé la peine prononcée en première instance par le tribunal de Bougaa à l’encontre du détenu d’opinion, Mohamed Ait Larbi qui est d’une année de prison ferme et 50 000 dinars d’amende. Pour rappel, le procès en appel du détenu d’opinion, Mohamed Ait Larbi, s’est tenu le 03 décembre.

Guerre en Palestine : près de 18.000 morts

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L'agression contre Gaza a commencé le 7 octobre dernier. ghaza

Près de 18.000 Palestiniens sont morts et plus de 51.000 ont été blessés, dont la majorité sont des enfants, des personnes âgées et des femmes, depuis le début de l’agression israélienne contre le peuple palestinien dans la bande de Ghaza et la Cisjordanie occupée, a indiqué hier dimanche l’agence de presse palestinienne Wafa citant le ministère de la Santé.

« Au moins 17.700 citoyens sont tombés en martyrs dans la bande de Ghaza et plus de 48.000 ont été blessés, dont 70 % sont des enfants et des femmes, tandis que le nombre de martyrs en Cisjordanie s’élève à 275 martyrs (en plus de) 3.300 blessés », précise le ministère palestinien de la santé dans son rapport quotidien, relevant que des milliers de Palestiniens sont toujours portés disparus à Ghaza.

Le ministère a en outre souligné qu’environ 1,9 million de personnes à Ghaza, soit environ 85 % de la population, sont déplacées à l’intérieur du pays, dont environ 1,2 million sont enregistrées dans 151 installations de l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA).

Algérie : l’activité de l’assemblage des véhicules reprend de plus belle

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L'usine fiat d'Oran est présentée comme un projet structurant.

Qualifiée de « supercherie » ou encore d’« arnaque » les usines de montage de voitures lancée en 2014 sous la houlette du défunt Bouteflika, n’est finalement pas « un mauvais » choix pour le pouvoir de Tebboune. En effet, le gouvernement de Tebboune reprend l’activité dans les mêmes procédés que ceux de l’ancienne équipe dirigeante. Mystère et boule de gomme.

Ce lundi, en effet, Ali Aoun, ministre de l’Industrie et de la Production pharmaceutique a supervisé dans la zone industrielle de la commune de Tafraoui à Oran, l’inauguration de l’usine automobile de la marque italienne « Fiat ».

La cérémonie d’inauguration de cette usine s’est déroulée en présence du vice-ministre italien de l’Entreprise et du « Made in Italy », Valentino Valentini, et du directeur général du groupe Stellantis auquel appartient la marque Fiat, Carlos Tafriz.

Ce projet, qualifié de structurant, « a été réalisé en un temps record », se targue-t-on, puisque les travaux de mise en œuvre ont débuté en novembre 2022, après la signature en octobre 2022 d’un accord-cadre entre le ministère de l’Industrie et le groupe « Stellantis, quatrième mondial du secteur de l’industrie automobile, qui comprend 12 marques dont « Fiat ».

L’accord-cadre signé entre les deux parties, met l’accent sur la nécessité de développer les activités industrielles liées à la construction automobile, le service après-vente, les pièces de rechange, ainsi que sur le développement de la filière de la construction automobile en Algérie.

La mise ne œuvre de l’accord-cadre est intervenue à la suite de la publication du décret 22-384 daté du 17 novembre 2022, cadre juridique englobant les conditions et les mesures liées aux activités en rapport avec la construction automobile, définissant un nouveau cahier des charges destiné aux importateurs et aux constructeurs automobile.

Le groupe Stellantis a annoncé que la capacité de production initiale de l’usine est estimée à 60.000 véhicules par an, dans une première phase, et atteindra 90.000 véhicules par an dans une seconde phase. L’usine automobile Fiat de Tafraoui produira trois types de véhicules(modèles) jusqu’en 2026, tandis que la production du quatrième type débutera en 2029.

L’usine a employé 300 travailleurs, durant l’année en cours, et 300 autres devraient l’être en 2024, dont une grande partie a été formée dans le cadre d’un programme de coopération entre l’entreprise « Stellantis » et le secteur de la Formation et de l’Enseignement professionnels.

Air Algérie : perturbations au niveau du système d’enregistrement

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La perturbation a provoqué une pagaille dans les aéroports

La compagnie aérienne Air Algérie retombe dans ses pratiques.  Ce lundi, elle a enregistré une énième perturbation au niveau de son système d’enregistrement au départ des aéroports algériens.

C’est ce que le pavillon algérien a annoncé dans un communiqué, assurant mettre en œuvre les mesures nécessaires pour le rétablissement du bon fonctionnement de ce système.

« Air Algérie enregistre aujourd’hui des perturbations de son système d’enregistrement au départ des aéroports algériens et s’excuse auprès de ses passagers pour les désagréments causés », lit-on dans le communiqué de la compagnie publique, qui « rassure de la mise en place de tous les moyens pour le rétablissement urgent de cette situation ainsi que la prise en charge de tous ses passagers ».

Condamnation d’El Kadi Ihsane : « Une parodie de justice

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El Kadi Ihsane L’ONG Riposte internationale a réagi à la lourde condamnation du journaliste El Kadi Ihsane à 5 ans de prison. Le journaliste et détenu politique Ihsane El Kadi a été condamné, hier, dimanche 02 avril par le tribunal de Sidi M’hamed d’Alger, à 5 ans de prison dont 3 ans ferme et 700 000 dinars d’amende. Cette lourde peine est assortie de la dissolution de la société Interface media, éditrice de Radio M et de Maghreb émergent, dont Ihsane El Kadi est le directeur éditorial, de la confiscation des biens saisis, de 10 millions de dinars d’amende à l’encontre de la personne morale et d’un million de dinars de dommages et intérêts au profit de l’Arav (Autorité de régulation de l’audiovisuel). M. El Kadi Ihsane a été l’objet depuis le Hirak d’intimidations et d’harcèlements judiciaires divers et répétés liés à son travail de journaliste et ses activités de défense de la liberté d’expression et de la presse. Plusieurs journalistes sont poursuivis pour leur travail. L’un d’eux est actuellement sous mandat de dépôt. Certains sont frappés d’interdiction de sortie du territoire national (ISTN) et menacés dans leurs libertés. – Advertisement – Riposte internationale dénonce un verdict politique dont le procès n’est rien d’autre qu’une parodie de justice. Ihsane El Kadi a été condamné le jour où le chef de l’État a bafoué un des principes fondamentaux de la justice qu’est la présomption d’innocence en le condamnant en direct à la télévision alors que l’affaire était en instruction. Riposte internationale appelle à la libération immédiate d’Ihsane El Kadi et de tous les détenus politiques et d’opinions. Riposte internationale est mobilisée pour la défense des libertés et des droits humains. Riposte internationale salue le courage, la patience et la dignité de la famille d’Ihsane El Kadi et l’assure de son soutien et sa solidarité.

Paris le 03 avril 2023

Riposte Internationale

Pour le Bureau Fédéral :Ali Ait Djoudi

Les régimes du Grand Maghreb convergent pour réprimer leurs peuples

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Simultanément avec Lakome.2 (Maroc), Maghreb Emergent et Mediapart (France), nous, publions ce texte collectif qui s’inquiète de l’état des libertés démocratiques dans l’ensemble du Grand Maghreb.

Signé par trente-trois organisations et plus de deux cents personnalités maghrébines, il en appelle aux forces intellectuelles, associatives et politiques afin de manifester leur « solidarité avec tous les détenus d’opinion, les réprimés et les marginalisés de la région ». Parmi les signataires :
– d’Algérie, Ihsane El Kadi, directeur de Radio M et de Maghreb Émergent, détenu d’opinion, des responsables d’organisations dissoutes (Rassemblement action Jeunesse-RAJ, Ligue algérienne de défense des droits de l’homme-LADDH) ou suspendues (Parti socialiste des travailleurs-PST) ;
– du Maroc, l’historien Maati Monjib, en liberté surveillée et interdit de sortie du territoire, des proches des journalistes détenus Omar Radi et Souleymane Raïssouni, et de Nacer Zefzafi, condamné à vingt ans de prison ; – de Tunisie, Cheïma Issa et Jawher Ben Mbark, membres du Front national du salut, poursuivis pour leurs opinions. Le communique :

Il semble que les rêves des peuples de la région se soient évaporés aujourd’hui, après l’espoir suscité par ce qu’on a appelé le « printemps arabe », qui a concerné, à divers degrés, la Tunisie, l’Egypte, la Libye, le Maroc puis, plus tard, l’Algérie, dont le Hirak a réussi non seulement à annuler la reconduction pour un cinquième mandat d’un président malade, épuisé et absent de la scène politique, mais aussi à revendiquer pendant des mois la liberté, la justice, la pluralité et la démocratie.

Au-delà de l’analyse des répercussions de la transition démocratique en Tunisie après le 25 juillet 2021, ou des causes de la guerre civile et de l’ingérence étrangère en Libye, ou des violations croissantes des droits et libertés à la suite des élections algériennes, ou de l’usage par l’Etat marocain de « techniques sournoises » d’un code pénal obsolète et contesté, de campagnes de harcèlement et de diffamation pour réprimer davantage la société civile et les journalistes indépendants, ou encore des atteintes aux libertés en Mauritanie, nous sommes aujourd’hui interpellés, en tant que militant(e)s associatif(ve)s, syndicalistes et politiques, intellectuel(le)s et artistes au sein de l’espace maghrébin et ailleurs, à plus de coordination et de solidarité pour :

– Advertisement –

– redynamiser et défendre notre slogan que nous avons porté pendant des décennies, le slogan d’un « Maghreb des peuples » qui revendique la liberté, l’égalité, la justice, la pluralité et la démocratie ;

– unifier nos forces maghrébines, civiles et politiques, pour faire face à l’oppression et pour nous engager, par des actions communes, dans la solidarité avec tous les détenus, les réprimés, les marginalisés : déclarations, séminaires, réunions et manifestations… ;

– dénoncer toutes les agressions et les violations des droits et libertés perpétrées par le pouvoir dans chacun des pays du Maghreb, en les considérant comme une agression à l’encontre de tous les peuples de la région.

Contact : Maghreblibertes@gmail.com

Les premiers signataires

Fouad Abdelmoumni, économiste [MAROC]

Hichem Abdessamad, historien [TUNISIE]

Chafik Abdi, journaliste [ALGÉRIE]

Hakim Addad, militant politique [ALGÉRIE]

Lahouari Addi, sociologue [ALGÉRIE]

Abderazak Adel, universitaire [ALGÉRIE]

Fatna Afid, militante syndicaliste [MAROC]

Hassan Aglagal, militant des droits humains, président de l’AMDH Paris/ IDF [MAROC]

Ayad Ahram, défenseur des droits humains [MAROC]

Khadija Aïnani, militante des droits humains [MAROC]

Ali Aït Djoudi, militant associatif, défenseur des droits humains [ALGÉRIE]

Arezki Aït Larbi, journaliste free lance, éditeur [ALGÉRIE]

Mourad Aït Ouarab, journaliste [ALGÉRIE]

Sanhadja Akhrouf, militante féministe [ALGÉRIE]

Ahmed Akroud, militant des droits humains [TUNISIE]

Zineb Ali-Benali, professeure émérite des universités [ALGÉRIE]

Abdelkérim Allagui, professeur universitaire retraité, militant des droits de l’Homme [TUNISIE]

Mourad Allal, directeur de centre de formation [TUNISIE]

Tewfik Allal, militant associatif [ALGÉRIE]

Abdessalem Amakhtari, militant des droits de l’Homme et de l’immigration [MAROC]

Leïla Amili, militante associative [MAROC]

Ghanima Ammour, poétesse [ALGÉRIE]

Ali Anouzla, journaliste [MAROC]

Ahmed Arehmouch, activiste du mouvement amazigh [MAROC]

Sion Assidon, citoyen [MAROC]

Mehdi Attar-Semlali, militant associatif [MAROC]

Boualem Azahoum, militant associatif de l’immigration maghrébine et militant du hirak du Rif [MAROC]

Nabil Azouz, enseignant, militant pour la démocratie [TUNISIE]

Mehdi Baala, journaliste [ALGÉRIE]

Yamina Baïr, journaliste [ALGÉRIE]

Malika Bakhti, ingénieure d’études [ALGÉRIE]

Mohamed Bazza, militant associatif [MAROC]

Adda Bekkouche, ancien enseignant universitaire, maire-adjoint de Colombes [ALGÉRIE]

Habib Bel Hedi, producteur [TUNISIE]

Bochra Belhaj Hamida, avocate, ancienne députée de l’ARP [TUNISIE]

Fathi Bel Haj Yahya, écrivain [TUNISIE]

Souhayer Belhassen, présidente d’honneur de la FIDH [TUNISIE]

Fayçal Benabdallah, président de la FTCR [TUNISIE]

Faouzi Ben Abderrahman, militant politique indépendant [TUNISIE]

Rabaa Ben Achour, universitaire [TUNISIE]

Sana Ben Achour, juriste, présidente de l’association Beyti [TUNISIE]

Ali Ben Ameur, universitaire, militant des droits humains [TUNISIE]

Bachir Ben Barka, universitaire retraité [MAROC]

Madjid Benchikh, ancien doyen de la Faculté de droit d’Alger [ALGÉRIE]

Mustapha Benfodil, écrivain et journaliste [ALGÉRIE]

Hechmi Ben Frej, militant associatif [TUNISIE]

Saïda Ben Garrach, avocate au barreau de Tunisie et ancienne conseillère aux droits de l’Homme à la présidence de la république [TUNISIE]

Monia Ben Jemia, juriste [TUNISIE]

Saïd Benmerad, expert en développement local [ALGÉRIE]

Ali Bensaad, géographe [ALGÉRIE]

Mohamed Ben Saïd, médecin, militant des droits humains [TUNISIE]

Sihem Bensedrine, présidente de l’association Mémoire et citoyenneté [TUNISIE]

Raja Ben Slama, professeure des universités, psychanalyste [TUNISIE]

Abdou Berrada, journaliste [MAROC]

Hayat Berrada-Bousta, universitaire [MAROC]

Nourredine Bessadi, consultant indépendant [ALGÉRIE]

Sophie Bessis, historienne [TUNISIE]

Mohamed Bhar, artiste chanteur [TUNISIE]

Saïd Bouamama, sociologue, militant associatif [ALGÉRIE]

Mostefa Bouchachi, avocat [ALGÉRIE]

Abderrahmane Bouchène, éditeur [ALGÉRIE]

Larbi Bouguerra, membre de l’académie Beyt El Hikma [TUNISIE]

Hamid Bouhaddouni, militant associatif, défenseur des droits humains [MAROC]

Hocine Boukella, musicien [ALGÉRIE]

Alima Boumediene-Thiéry, avocate, parlementaire honoraire [ALGÉRIE]

Mouloud Boumghar, universitaire [ALGÉRIE]

Omar Bouraba, militant associatif [ALGÉRIE]

Ali Brahimi, juriste, militant démocrate [ALGÉRIE]

Nadia Chaabane, ancienne députée de la Constituante [TUNISIE]

Khémaïes Chammari, militant des droits de l’homme, ancien ambassadeur [TUNISIE]

Kacem Chebab, militant du FMVJ et et de la CMODH [MAROC]

Hédi Chenchabi, directeur de centre de formation [TUNISIE]

Henda Chennaoui, militante associative [TUNISIE]

Mouhieddine Cherbib, défenseur de droits humains [TUNISIE]

Khadija Chérif, féministe, militante des droits humains [TUNISIE]

Altya Chérif-Chammari, avocate, militante féministe [TUNISIE]

Alice Cherki, psychanalyste [ALGÉRIE]

Fatiha Cherribi, mère du journaliste détenu Omar Radi [MAROC]

Yasmina Chouaki, militante féministe [ALGÉRIE]

Larbi Chouikha, universitaire [TUNISIE]

Mohsen Chouikha, universitaire [TUNISIE]

Ahmed Dahmani, universitaire, défenseur des droits de l’Homme [ALGÉRIE]

Karima Dirèche, historienne [ALGÉRIE]

Saïd Djaafar, journaliste [ALGÉRIE]

Abdelnasser Djabi, sociologue [ALGÉRIE]

Yahya Djafari, enseignant retraité [TUNISIE]

Habiba Djahnine, réalisatrice, féministe [ALGÉRIE]

Nadir Djermoune, architecte urbaniste [ALGÉRIE]

Daikha Dridi, journaliste [ALGÉRIE]

Mohsen Dridi, militant associatif de l’immigration [TUNISIE]

Nassera Dutour, présidente du CFDA et et de la FEMED [ALGÉRIE]

Ali El Baz, militant de l’immigration [MAROC]

Nadia El Fani, cinéaste [TUNISIE]

Naceur El Idrissi, président du réseau ATMF [MAROC]

Ihsane El Kadi, journaliste, détenu d’opinion, directeur de Radio M et du journal électronique Maghreb Emergent [ALGÉRIE]

Tin Hinane El Kadi, universitaire [ALGÉRIE]

Driss El Khorchi, militant associatif [MAROC]

Rachid El Manouzi, président APADM [MAROC]

El Kabir El Miloudi, militant des droits humains [MAROC]

Hakim Fékih, activiste [TUNISIE]

Frej Fenniche, ancien haut-fonctionnaire aux Nations unies [TUNISIE]

Wahid Ferchichi, professeur de droit [TUNISIE]

Mohamed-Chérif Ferjani, universitaire [TUNISIE]

Abdelouhab Fersaoui, militant politique (ex-président de RAJ, association dissoute) [ALGÉRIE]

Yosra Frawes, ancienne présidente de l’ATFD [TUNISIE]

Souad Frikech, militante associative et des droits humains [MAROC]

Ahmed Galai, Solidarité laïque Méditerranée [TUNISIE]

Najla Gharbi, universitaire, chercheure [TUNISIE]

Sarra Grira, membre du comité éditorial de « Orient XXI » [TUNISIE]

Saloua Grissa, directrice de l’association Droit à la différence [TUNISIE]

Ali Guenoun, historien [ALGÉRIE]

Selma Hajri, médecin, militante des droits humains [TUNISIE]

Ayachi Hammami, avocat au barreau de Tunisie et ancien ministre des droits de l’Homme [TUNISIE]

Nabila Hamza, sociologue, conseillère municipale [TUNISIE]

Maher Hanine, sociologue, militant associatif et politique [TUNISIE]

Zaki Hannache, défenseur des droits de l’Homme [ALGÉRIE]

Abdennour Haouati, cadre gestionnaire à la retraite [ALGÉRIE]

Mohammed Harbi, historien [ALGÉRIE]

Fouad Hassam, syndicaliste [ALGÉRIE]

Abderrahmane Hedhili, président du FTDES [TUNISIE]

Mohammed Hennad, universitaire [ALGÉRIE]

Ghazi Hidouci, ancien ministre de l’économie, membre du CEDETIM [ALGÉRIE]

Abdelkérim Hizaoui, universitaire [TUNISIE]

Ouali Ilikoud, universitaire [ALGÉRIE]

Amar Ingrachen, éditeur et journaliste [ALGÉRIE]

Mohamed Iouanoughene, journaliste [ALGÉRIE]

Cheima Issa, membre du Front de salut national [TUNISIE]

Aïcha Jabrane, militante associative [MAROC]

Mohamed Jaite, avocat au barreau de Paris [MAROC]

Abderrahim Jamaï, avocat au barreau de Rabat, ancien bâtonnier, membre du collectif d’avocats en défense des détenus du hirak du Rif [MAROC]

Aboubakr Jamaï, enseignant/journaliste [MAROC]

Kamel Jendoubi, militant des droits humains [TUNISIE]

Abdelkébir Jmaiai, activiste associatif, militant des droits humains [MAROC]

Halima Jouini, féministe, militante de droits humains [TUNISIE]

Aïssa Kadri, sociologue [ALGÉRIE]

Habib Kazdaghli, historien universitaire, ancien doyen de la Faculté de la Manouba [TUNISIE]

Melek Kefif, médecin, militant associatif [TUNISIE]

Myriam Kendsi, artiste peintre [ALGÉRIE]

Tahar Khalfoune, universitaire [ALGÉRIE]

Abdelmoumen Khelil, militant des droits humains [ALGÉRIE]

Mohamed Khenissi, président de l’association Nachaz [TUNISIE]

Ramy Khouili, militant associatif et des droits humains [TUNISIE]

Hosni Kitouni, historien [ALGÉRIE]

Anouar Kousri, avocat, ancien vice-président de la LTDH [TUNISIE]

Aziz Krichen, économiste, ancien ministre-conseiller à la présidence de la république [TUNISIE]

Abdellatif Laâbi, écrivain [MAROC]

Souad Labbize, autrice [ALGÉRIE]

Kamel Lahbib, militant associatif, défenseur des droits humains [MAROC]

Djaffar Lakhdari, consultant [ALGÉRIE]

Olfa Lamloum, politologue [TUNISIE]

Samir Larabi, doctorant en sociologie [ALGÉRIE]

H’mida Layachi, écrivain et journaliste [ALGÉRIE]

Hakima Lebbar, psychanalyste, galeriste, militante pour la défense  des droits humains [MAROC]

Mohieddine Legha, secrétaire général de la LTDH [TUNISIE]

Adel Ltifi, historien [TUNISIE]

Gérard Maarek, urbaniste [TUNISIE]

Djemaa Maazouzi, professeure et chercheure [ALGÉRIE]

Fatimata M’Baye, avocate au barreau de Mauritanie et présidente de l’Association mauritanienne des droits de l’Homme (AMDH) [MAURITANIE]

Jawher Ben Mbarek, membre du Front de salut national [TUNISIE]

Insaf Machta, universitaire [TUNISIE]

Lotfi Madani, consultant, expert en communication [ALGÉRIE]

Ahmed Mahiou, ancien doyen de la Faculté de droit d’Alger, ancien président de la Commission du droit international de l’ONU, ancien juge ad hoc de la Cour internationale de justice [ALGÉRIE]

Mustapha Majdi, acteur associatif [MAROC]

Rachid Maloui, syndicaliste [ALGÉRIE]

Hicham Mansouri, journaliste [MAROC]

Jalel Matri, militant associatif [TUNISIE]

Imed Melliti, sociologue [TUNISIE]

Aziz Mkichri, militant associatif [MAROC]

Khadija Mohsen-Finan, universitaire [TUNISIE]

Maati Monjib, historien [MAROC]

Nabil Montassar, historien, syndicaliste et militant LTDH [TUNISIE]

Abdellatif Mortajine, militant de l’immigration [MAROC]

Mawaheb Mosbah, militante politique [TUNISIE]

Rosa Moussaoui, journaliste [ALGÉRIE]

Bachir Moutik, militant associatif [Sahraoui]

Chérif Msadek, militant associatif [TUNISIE]

Jamel Msallem, président d’honneur de la LTDH [TUNISIE]

Mohamed Nachi, sociologue [TUNISIE]

Hatem Nafti, journaliste essayiste [TUNISIE]

Youssef Thierno Niane, avocat au barreau de Mauritanie et représentant de l’Association mauritanienne des droits de l’Homme (AMDH) à Nouadhibou [MAURITANIE]

Mamamdou Niang, syndicaliste (CGTM) [MAURITANIE]

Omar Ouali, journaliste [ALGÉRIE]

Meziane Ourad, journaliste [ALGÉRIE]

Driss Radi, père de Omar Radi, journaliste détenu [MAROC]

Lilia Rebaï, féministe, militante des droits humains [TUNISIE]

Mahmoud Rechidi, militant politique, ex-SG du Parti socialiste des travailleurs (suspendu et réprimé) [ALGÉRIE]

Hamadi Redissi, universitaire, philosophe [TUNISIE]

Kahina Redjala, militante associative [ALGÉRIE]

Aziz Rhali, pharmacien, président de l’AMDH [MAROC]

Khadija Ryadi, défenseure des droits humains, lauréate du rix de l’ONU pour les droits de l’Homme [MAROC]

Messaoud Romdhani, militant des droits humains [TUNISIE]

Mohamed Sadkou, avocat au barreau de Rabat et défenseur de détenus d’opinion, d’activistes de mouvements sociaux et des journalistes Omar Radi et Soulaimane Raissouni, et de l’historien Maati Monjib [MAROC]

Fathia Saïdi, sociologue, enseignante chercheure à l’ISSH [TUNISIE]

Youssef Raissouni, proche de Souleymane Raissouni, journaliste détenu [MAROC]

Salhi, militant de droits humains [TUNISIE]

Saïd Salhi, défenseur des droits humains (vice-président de la LADDH, réprimée et dissoute) [ALGÉRIE]

Mamdou-Moctar Sarr, secrétaire exécutif du FONADH [MAURITANIE]

Jamila Sayouri, avocate, militante pour les droits humains [MAROC]

Youssef Seddik, écrivain philosophe [TUNISIE]

Sid Ahmed Semiane, auteur [ALGÉRIE]

Abderrahim Sioui, militant associatif [MAROC]

Tahar Si Serir, militant associatif [ALGÉRIE]

Hichem Skik, universitaire, militant politique [TUNISIE]

Hamouda Soubhi, militant altermondialiste [TUNISIE]

Saïd Sougty, président de l’ASDHOM [MAROC]

Sami Souihli, médecin, syndicaliste [TUNISIE]

Imad Stitou, journaliste [MAROC]

Taoufiq Tahani, universitaire et militant associatif [MAROC]

Samir Taieb, universitaire, ancien ministre [TUNISIE]

Alaa Talbi, militant associatif [TUNISIE]

Wassyla Tamzali, essayiste, féministe, activiste culturelle [ALGÉRIE]

Hocine Tandjaoui, écrivain [ALGÉRIE]

Atmane Tazaghart, écrivain et journaliste [ALGÉRIE]

Nadia Tazi, philosophe [MAROC]

Yassine Temlali, chercheur, historien [ALGÉRIE]

Fethi Tlili, militant associatif [TUNISIE]

Ridha Tlili, universitaire [TUNISIE]

Mokhtar Trifi, président d’honneur de la LTDH [TUNISIE]

Hamid Arab, directeur du site www.lematindalgerie.com (Algérie)

Françoise Valensi, médecin [TUNISIE]

Ahmed Zefzafi, père de Nacer Zefzafi, détenu d’opinion [MAROC]

Najet Zemmouri, militante des droits humains [TUNISIE]

Abdallah Zniber, militant associatif de l’immigration [MAROC]

Neïla Zoghlami Tlili, présidente de l’ATFD [TUNISIE]

ORGANISATIONS

Agir pour le changement et la démocratie en Algérie (ACDA)

Association Adala Pour un procès équitable [MAROC]

Association de défense des droits de l’Homme au Maroc (ASDHOM)

Association de parents et amis de disparus au Maroc (APADM)

Association des Marocains en France (AMF)

Association des travailleurs maghrébins de France (ATMF)

Association Khamsa Solidaire Ici et Ailleurs [FRANCE]

Association Le droit à la différence [TUNISIE]

Association Le Pont de Genève [SUISSE]

Association Les mains libres [MAROC]

Association mauritanienne des droits de l’Homme (AMDH)

Association Perspectives El Amel Ettounsi

Association tunisienne des femmes démocrates (ATFD)

Collectif Soumoud [TUNISIE]

Comité pour le respect des libertés et des droits de l’Homme en Tunisie (CRLDHT)

Confédération générale autonome des travailleurs en Algérie (CGATA)

Confédération générale des travailleurs en Mauritanie (CGTM)

Coordination maghrébine des organisations des droits humains (CMODH)

Euro-Mediterraan Centrum Migratie & Ontwikkeling (EMCEMO) [PAYS-BAS]

Euromed-droits

Fédération des Tunisiens citoyens des deux rives (FTCR)

Forum marocain des alternatifs Sud (FMAS)

Forum marocain Vérité et justice (FMVJ)

Forum des organisations nationales des droits humains en Mauritanie (FONADH)

Forum tunisien des droits économiques et sociaux (FTDES)

Institut Mehdi-Ben Barka – Mémoire vivante

Ligue tunisienne des droits de l’Homme (LTDH)

Na’oura-Bruxelles

Nachaz-Dissonance [TUNISIE]

Riposte internationale [ALGÉRIE]

SOS Migrants

Syndicat national autonome des personnels de l’administration publique (SNAPAP) [ALGÉRIE]

Union des travailleurs immigrés tunisiens (UTIT)