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samedi 14 juin 2025
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Le gros général, la momie et la politique !

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C’est quand même incroyable ce qui se passe en Algérie, même George Orwell ne pouvait imaginer un scénario pareil.

Un Général de l’armée, par défaut, et vice ministre de la défense, par nécessité, s’incline et s’applaventrit devant un cadavre, pire, une momie au sens pharaonique du terme, et d’un seul coup il se rebiffe !

Il y a quelques jours, le gros général de l’armée algérienne, et qui n’a jamais fait de guerre si ce n’est celle de réprimer « ses » citoyens, menaçait ces mêmes citoyens sortis dans la rue par millions pour s’opposer à un énième mandat d’un putschiste au pouvoir depuis 1962 ! Bouteflika au pouvoir a l’âge de l’Algérie indépendante.

Le gros général qui ne sait même pas lire un communiqué qu’on lui a rédigé dans la précipitation est devenu le chef d’un parti politique qui haranguait ses militants (ses militaires) en treillis pour menacer la population rebelle et dicter sa volonté de maintenir un cadavre au fauteuil de président.

Miracle algérien, c’est ce même gros général qui demande aujourd’hui (à qui en fait ? ) d’appliquer une loi de la constitution-brouillon algérienne et de démettre « son » chef pour raison de santé.

Le gros général oublie au passage qu’il était au service du cadavre depuis 7 ans, que ce cadavre à violé cette même constitution plusieurs fois pour rester au pouvoir et surtout que cette constitution lui demande de ne pas se mêler de la politique. En réalité, le gros général ne respecte ni le peuple ni la constitution, il exécute juste des volontés qui sont plus fortes et cette fois -ci c’est l’oncle Sam qui a ordonné de se mettre au couchez-vous.
Un vent de panique s’empare de la grande muette devenue bavarde.

Par Ahviv Mekdam

Riposte internationale avertit : L’armée commet un énième coup d’Etat

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Après un mois de révolution, de contestation et de soulèvement d’un peuple qui exige le départ de tout le régime corrompu et illégitime afin de fonder une nouvelle république , dans une nouvelle ère politique, voilà que le chef de l’État-Major de l’armée qui se rappelle de l’article 102 d’une constitution maintes fois violée.

L’application de l’article 102 de la constitution, un mois avant la fin du mandat du président sortant Bouteflika n’est que mépris à l’intelligence du peuple algérien, c’est une réponse tardive et en décalage avec l’aspiration populaire.

– Faut-il rappeler que cet article a été de tout le temps rejeté par les tenants du pouvoir depuis plus de 5 ans alors que l’opposition réclame son application en vain.

Cet acte du Chef militaire n’est qu’un énième coup d’État contre les institutions de l’État à l’instar des précédents , et contre le peuple algérien. Le régime fondé sur la manœuvre, la fraude, la corruption et la violence ne peut mener une transition, comme ce fut le cas en 1989, pour reprendre le contrôle de la rue et de la société civile. Il ne peut reprendre les institutions d’une main de fer, comme il l’a toujours fait. Le peuple ne demande pas seulement le départ du président mais il exige un changement radical du système politique corrompu et corrupteur , et aller vers une transition et une assemblée constituante.

– La situation politique est tellement grave pour qu’un personnel politico-militaire rejeté puisse la résoudre. Nous suivons la situation avec sérieux et gravité car le régime a manifesté son intention de renverser la volonté du peuple comme il a l’habitude de procéder à chaque rendez-vous historique où le peuple manifeste sa volonté de sortir du carcan.

– Riposte internationale, et l’ensemble de ses membres, avertissent le régime et le tiennent pour responsable de tout glissement vers la violence ou l’insécurité résultant de ses décisions irresponsables.

– Paris le 27 mars 2019 .

Pour le Bureau/le Président ,

Ali Aït Djoudi

Source Le Matin d’Algérie

Algérie : le conseil constitutionnel valide la vacance du poste de Président de la République

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À la suite de l’appel du chef d’État-major des armées Ahmed Gaïd Salah d’appliquer l’article 102 de la Constitution, le Conseil constitutionnel s’est réuni en urgence et a statué à l’unanimité sur la vacance du poste de Président de la République. Ils ont informé le Parlement du constat de la vacance du poste de Président de la République, selon la chaîne de télévision Dzaïr TV.

La démarche de destitution du Président de la République s’accélère ainsi, en attendant la réunion des deux chambres parlementaires qui devront entériner la décision a la majorité de deux tiers afin que le constat devienne officiel et le poste vacant.

Dans le cas de la confirmation de la vacance par les deux chambres, Abdelkader Bensalah, président du Sénat sera président par intérim et aura la tache de préparer des élections présidentielles dans les trois mois qui suivent son installation.

 

Source ObservAlgérie

Sonatrach : le jeu trouble de la direction de la compagnie !

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Hormis l’affaire du gel d’un important contrat avec Exxon Mobil, Sonatrach ne semble,  pas manquer de nouveaux partenaires. D’après El Watan, la direction de la compagnie nationale de production des hydrocarbures a signé ces dernières semaines des contrats à la pelle avec des clients locaux et étrangers.

Selon les mêmes sources, ces contrats se chiffreraient même à plusieurs centaines de millions de dollars. Les observateurs s’interrogent d’ailleurs pourquoi tous ces contrats sont signés à un rythme aussi soutenu alors que rien ne presse.

L’un des derniers contrats en date conclu par la Sonatrach concerne le développement du champ gazier de Aïn Tsila, localité située dans le périmètre d’Isarene, à 160 km au nord-ouest de la wilaya d’Illizi. Ce projet, d’un montant de 123 milliards DA et qui doit être livré au bout de 42 mois, sera mené par le groupement Isarene et Petrofac International (UAE) LLC. Une fois réalisé, il devrait, selon Sonatrach, permettre la récupération de 64 milliards de m3 de gaz, avec une production journalière de 10,3 millions de m3 de gaz de vente, 11 500 barils de condensat et 17 000 barils de GPL sur un plateau de 14 ans.

 

Source Algérie360

Algérie : le général Gaïd Salah fait appel à l’article 102 de la constitution et lâche Bouteflika (APS)

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ALGER- Le général de corps d’Armée, Ahmed Gaïd Salah, vice-ministre de la Défense nationale, chef d’Etat-major de l’Armée nationale populaire (ANP), a soutenu mardi que la solution de la crise politique actuelle réside dans l’application de l’article 102 de la Constitution, indique un communiqué du MDN.

« Dans ce contexte, il devient nécessaire, voire impératif d’adopter une solution pour sortir de la crise, qui répond aux revendications légitimes du peuple algérien, et qui garantit le respect des dispositions de la Constitution et le maintien de la souveraineté de l’Etat. Une solution à

même d’aboutir à un consensus de l’ensemble des visions, et faire l’unanimité de toutes les parties, à savoir la solution stipulée par la Constitution, dans son article 102 », a-t-il affirmé lors d’une visite de travail et d’inspection dans la 4e Région Militaire à Ouargla,L’article 102 dispose que « lorsque le Président de la République, pour cause de maladie grave et durable, se trouve dans l’impossibilité totale d’exercer ses fonctions, le Conseil constitutionnel se réunit de plein droit, et après avoir vérifié la réalité de cet empêchement par tous moyens appropriés, propose, à l’unanimité, au Parlement de déclarer l’état d’empêchement ».

Le même article ajoute que le Parlement siégeant en chambres réunies déclare l’état d’empêchement du Président de la République, à la majorité des deux tiers (2/3) de ses membres et charge de l’intérim du Chef de l’Etat, pour une période maximale de quarante cinq (45) jours, le Président du Conseil de la Nation, qui exerce ses prérogatives dans le respect des dispositions de l’article 104 de la Constitution…

Par la rédaction via APS

Ahmed Rouadjia : « Le FLN et le RND se préparent déjà pour l’après-changement »

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Amara Benyounes (G) président du MPA , Ahmed Ouyahia président du RND (C G),Mouad Bouchareb (C D) président du FLN et Amar Ghoul (D) président du TAJ de L'Alliance présidentielle annoncent dans leur communiqué lu à l’issue d’une réunion au siége du FLN, avoir désigné Abdelaziz Bouteflika comme candidat à la prochaine élection présidentielle du 18 avril. Alger le 2 Fevrier 2019. PHOTO/ RYAD KRAMDI .

Les deux principaux partis politiques de la coalition qui a soutenu Abdelaziz Bouteflika depuis son arrivée en 1999 et qui ont fait preuve d’un zèle extrême dans la défense de sa reconduction pour un cinquième mandat ont exprimé leur soutien au mouvement populaire.

Cette position, en déphasage total avec leur histoire ancienne et récente aurait pu être lue comme « une prise de conscience tardive » si ces deux partis étaient de simples soutiens conjoncturels du système décrié par les millions des manifestants algériens dans les rues depuis le 22 février. Mais la réalité est tout autre. « Le FLN et le RND constituent l’ossature du système algérien. Plus que des partis, ce sont des réseaux très complexes qui gèrent des intérêts politiques et économiques aussi bien en Algérie qu’à l’étranger. Ils sont indissociable du système», explique le sociologue Ahmed Raoudjia.

Le ralliement de ces partis au mouvement insurrectionnel, signifie-t-il qu’il y a une fissure au sein du système comme tentent de le faire croire certains analystes ? La sortie du porte-parole du RND quia déclaré que l’Algérie était gérée par des forces extraconstitutionnelles depuis 7 ans signifie-t-elle que les factions du système s’entredéchirent ? Le sociologue Ahmed Rouadjia considère que cette tempête qui agite le système de l’intérieur n’est rien d’autre qu’une manœuvre tactique qui vise un repositionnement du FLN et du RND vis-à-vis de la société mais aussi vis-à-vis du nouveau système qui va probablement être mis en place dans le cadre la transition qui va s’enclencher prochainement.  En effet, selon lui, le FLN et le RND, en tant que piliers du système, ne veulent pas se réhabiliter seulement en tant qu’appareil politique.

« On sait très bien que le FLN et le RND n’ont aucune autonomie de décision. S’ils ont exprimé leur soutien au mouvement populaire, c’est qu’ils sont reçus des injonctions dans ce sens. Cette démarche ne vise pas simplement à redorer leur blason auprès de l’opinion pour mieux se positionner dans le système futur qui sera probablement mis en place, mais aussi pour permettre le recyclage du système à travers eux. Le FLN et le RND sont en train d’être utilisés comme cheval de Troie pour sauver ce qui reste encore à sauver du système actuel et préparer le terrain pour l’après-changement.  En gros, ils prennent leurs distances avec le système pour le sauver, ils reculent pour mieux sauter», explique M. Raoudjia.

 

Source Maghreb Émergent
Par Amar Ingrachen

Gillet jaune chante l’Algérie

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Par la rédaction

Maroc : des milliers d’enseignants contractuels manifestent contre la précarité

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Moroccan policemen stand in front of protesters during a demonstration in the capital Rabat on March 24, 2019. - The police dispersed during the night a gathering of teachers who reportedly attempted to camp in front of the parliament, demanding permanent contracts within the national education system. (Photo by FADEL SENNA / AFP)

Les enseignants contractuels réclament les mêmes droits que leurs collègues fonctionnaires. Ils sont en grève depuis trois semaines dans l’ensemble du royaume.

La police marocaine a fait usage de canons à eau dans la nuit de samedi 23 à dimanche 24 mars pour disperser des milliers d’enseignants qui manifestaient dans la capitale, Rabat, en faveur d’une revalorisation de leurs conditions de travail. Les manifestants, hommes et femmes de 20 à 30 ans, avaient défilé tout l’après-midi dans le calme dans les rues de la capitale marocaine avec des slogans comme « le peuple veut l’abolition de la contractualisation » ou « liberté, dignité, justice sociale ».

La nuit tombant, les manifestants se sont éclairés avec leurs téléphones portables et ont allumé quelques bougies, avant d’installer un grand campement improvisé devant le Parlement de Rabat. Les forces de l’ordre les ont dispersés avec matraques et canons à eau, après plus de deux heures de négociation pendant lesquelles ils ont refusé de lever le camp.

Retrouvez notre entretien : « Au Maroc, les professeurs de philosophie sont des foyers de résistance contre la bêtise »

Les contractuels ont entamé une grève depuis le 3 mars et avaient déjà, il y a quinze jours, campé devant les académies régionales dans différentes villes. Ils protestent contre la politique de « recrutement par contrat » (CDD) en vigueur depuis 2016 et massivement utilisée depuis par les autorités marocaines. Sur les 240 000 enseignants que compte le pays, 55 000 ont, en effet, été embauchés sur ces contrats depuis 2016.

Nouvelle manifestation dimanche

Concrètement, leur statut leur donne droit aux mêmes salaires que les permanents – 5 000 dirhams par mois, soit environ 460 euros –, mais pas à la même stabilité de l’emploi ni aux mêmes droits pour la retraite. Le gouvernement leur a fait différentes propositions, notamment de les intégrer dans les académies régionales, mais toutes ont été jugées insuffisantes au fil des semaines.

Les jeunes contractuels ont prévu de participer dimanche à Rabat à une nouvelle manifestation organisée par plusieurs partis et syndicats contre la loi-cadre sur l’enseignement et contre la privatisation de l’enseignement public.

Lire notre reportage : Au Maroc, la disparition des écoles publiques accélère la marchandisation de l’éducation

La date du 23 mars a été choisie en référence à la grande manifestation étudiante du 23 mars 1965, qui s’était terminée par un bain de sang à Casablanca et avait débouché sur l’état d’exception pendant les « années de plomb ». Le 20 février dernier, une des manifestations des contractuels coïncidant avec la date anniversaire du mouvement pro-démocratie du 20-Février, né en 2011 durant le « printemps arabe », avait été dispersée à Rabat par la police. Plusieurs personnes avaient été blessées.

L’enseignement public marocain fait l’objet de critiques récurrentes : bas niveau des élèves et fort abandon scolaire, classes surchargées, écoles fermées dans les grandes villes pour laisser place à des projets immobiliers, privatisation continue du secteur… L’Etat a dédié une enveloppe de près de six milliards d’euros pour l’enseignement en 2019 et lancé une « vision stratégique de la réforme de l’éducation », visant à « l’édification d’une école de l’équité et de la qualité » d’ici à 2030.

 

Source Le Monde
Par Le Monde avec AFP et Reuters

Les relations entre la France et l’Algérie disséquées à la rencontre de Riposte internationale

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Riposte internationale a organisé samedi 23 mars après-midi à Paris une conférence animé par le journaliste Christophe Dubois auteur du livre avec la journaliste Marie-Christine Tabet, « Paris – Alger, une histoire passionnelle », 2015, Ed. Broché, le chercheur en relation internationale Brahim Oumansour, et Hakim Taïbi, journaliste et membre de Riposte internationale en tant que modérateur, sur le thème les relations France, Algérie, constat et perspective.

La situation actuelle de l’Algérie marquée par un mouvement de contestation immense qui exige le changement du régime et les relations complexes entre la France et l’Algérie sont les questions récurrentes dans les débats ou les intervenants ont insisté sur l’aide des autorités françaises au régime algérien qui assure les intérêts de la France au détriment de ceux de l’Algérie.

Les sociétés françaises qui investissent en Algérie mêmes-elles trouvent des difficultés pour s’introduire dans le marché algérien mai elles gagnent beaucoup d’argents selon le journaliste Christophe Dubois.

 

 

Le chercheur Brahim Oumansour a expliqué en détail les ressorts du mouvement de contestation pacifique que connaît l’Algérie depuis le 22 février en insistant sur la nécessité de la continuité du mouvement pour continuer d’exercer une pression sur le pouvoir en indiquant que les pays limitrophes et certains pays de la région suivent avec intérêt ce qui se passe en Algérie par peur de contagion en cas de démocratisation du pays.

Les intervenants ont aussi soulevé le problème du transfert illégal des capitaux par les dirigeants algériens qui achètent des biens en France sans que la justice française n’intervienne.

Source Le Matin d’Algérie
Par Arezki Mamart

Belkacem Sahli, Secrétaire Général de l’alliance nationale républicaine ANR aurait été vu à l’aéroport d’Orly (France)

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Selon une information fuitée sur les réseaux sociaux, Belkacem Sahli, Secrétaire Général de l’alliance nationale républicaine ANR aurait été vu à l’aéroport d’Orly (France), l’information précise entre autre, qu’il a été reçu par le consul et escorté dans une voiture officielle appartenant au consulat d’Algérie en France.

En quelle qualité le consul l’a-t-il reçu et pourquoi est-il allé en France en ce moment sensible?

 

 

 

Par la rédaction