L’avocate tebessienne qui défraie la chronique depuis quelques temps en se prenant pour la nouvelle pasionaria ne cesse d’appeler un général de l’armée pour le mettre à la tête du pays. Après avoir soutenu Le général retraité Ali Ghediri, voilà qu’elle appelle encore à l’ex président algérien, lui aussi général à la retraite, pour mener la transition ! En fait, la dame n’est qu’un pur produit du système algérien auquel elle prétend s’attaquer aujourd’hui.
Un coup d’œil sur son parcours renseigne un peu sur ses penchants à la dictature. Et c’est Wikipedia qui le dit. Parcours politique aprés la démission du président Chadli Bendjedid le 11 janvier 1992 et suite à l’arrêt du processus électoral, Zoubida Assoul est désignée au CNT ( Conseil National de Transition 1994-1997 ) au poste de rapporteur de la Commission des affaires juridiques. Une mission qu’elle va accomplir jusqu’en 1997.
En 1994 déjà, elle est nommée chargée des études au secrétariat général du gouvernement. En 2000, elle devient conseillère du président du Conseil de la nation, la chambre haute du Parlement. En 2006, elle est élue présidente de l’ONG Réseau des femmes juristes arabes. Le 29 septembre 2012, elle crée son parti politique : l’Union pour le changement et le progrès (UPC). En 2015, elle déclare que son modèle est Houari Boumédiène.
Elle est également la porte-parole de mouvement « Mouwatana » « Citoyenneté-Démocratie », créé le 10 juin 2018 avec des hommes politiques et découvre l’opposition ! En février 2019, dans le cadre de l’élection présidentielle algérienne du 18 avril 2019, elle annonce le ralliement de l’UCP à la candidature d’Ali Ghediri.
Par Ahviv Mekdam