
Le Cercle des Lumières pour la Pensée Libre (CLPL)
organise sa 50ème conférence
le Samedi 20 octobre 2018 à 14 h
L’invité d’honneur est Monsieur Halim Feddal, secrétaire général
de l’association national de lutte contre la corruption.
Même pas cent laissez-passer consulaires obtenus mensuellement par les services de l’Intérieur pour expulser de France les clandestins sans papier… Du 1er janvier au 31 juillet, l’Intérieur en a récupéré seulement 790 pour près de 4 000 demandés. « Les laissez-passer consulaires ? C’est le sujet majeur », concède un officiel à Beauvau.
Interrogez les agents de préfecture ou de la police aux frontières (PAF) sur les expulsions d’étrangers en situation illégale en France et tous vous diront combien l’obtention de ces documents indispensables aux éloignements forcés peut laisser de souvenirs amers. Car les laissez-passer consulaires (LPC dans le jargon administratif) sont effectivement délivrés au compte-gouttes par les pays sources d’immigration. Ils concernent principalement les clandestins qui ont détruit leurs papiers et dont il faut établir la nationalité. Sans la coopération du pays d’origine supposé, aucun retour n’est envisageable.
Gérard Collomb avait mis le sujet sur la table dès son arrivée à Beauvau. Il affirmait que le dossier était totalement embourbé et que les préfets n’osaient quasiment plus consulter les consulats étrangers tant le taux de réponse était faible. « Ce n’est pas tout à fait exact, réagit un grand commis de l’État. Des préfets qui renoncent, j’en connais peu, mais des consuls étrangers qui passent les bornes, il y en a beaucoup ! » « Il nous faut là encore persévérer »,
disait Gérard Collomb, le 4 septembre dernier. Ce jour-là, il s’exprimait devant les attachés de sécurité intérieure placés auprès des ambassadeurs français un peu partout dans le monde. Et les chiffres qu’il égrainait étaient inédits : « Depuis le début de l’année, […] le nombre de laissez-passer consulaires demandés a été de 3 857, soit + 66 % par rapport à la même période l’an passé. Le nombre de LPC instruits a été de 2 095, soit + 32 %. Et le nombre de LPC obtenus a été de 790. » En pourcentage, c’est 43 % de mieux que l’année d’avant.
Mais le ministère part de si bas. « Nous agissons, malgré les difficultés, sur le plan européen, à la fois pour renforcer l’agence Frontex, qui est en train de monter en puissance, et pour trouver les voies de coordination et d’une solidarité européennes efficaces en la matière », assurait alors le ministre, qui a démissionné depuis, dans les circonstances que l’on sait…
La nomination d’un ambassadeur ad hoc à sa demande pour débloquer la situation avec certains pays rétifs à toute coopération n’a pas été inutile. La France ne ménage pas ses efforts pour convaincre ses interlocuteurs étrangers, quitte à laisser entendre qu’elle conditionnera ses aides financières ou matérielles aux États concernés à leur capacité à augmenter le taux de réadmission de leurs ressortissants indésirables en France.
Avec l’Albanie, cette politique bilatérale a permis de faire baisser significativement la demande d’asile pour ses ressortissants dans l’Hexagone (- 40 % environ depuis janvier) et les reconduites ont été nombreuses. Mais l’Albanie, candidate à l’intégration dans l’UE, bénéficie d’un régime d’exemption de visas qu’elle ne souhaiterait pas perdre si Paris devait hausser le ton. Tirana a donc un intérêt direct à négocier. « Le problème, ce sont tous ces pays qui ne jouent pas le jeu », déplore un haut fonctionnaire du ministère en charge de ce dossier. Lesquels ? Le directeur d’un service dédié dans une préfecture n’hésite pas à nommer ceux qui lui posent des difficultés : « La Russie, le Maroc, l’Algérie et la Tunisie principalement. » Mais il y a aussi le Mali, le Sénégal, l’Afghanistan ou la Chine.
Pourquoi ces pays restent-ils sourds aux demandes ? « On ne va pas se raconter d’histoire, déclare un commissaire de la PAF. Beaucoup des jeunes migrants concernés sont des sans-emploi que leur pays encourage à partir. Il y a même des délinquants dans le lot, indésirables chez eux. » « La Chine, pour sa part, met un point d’honneur à ne pas reprendre ceux qui ont quitté la mère patrie », assure un juge administratif.
L’an dernier, en Tunisie, une amnistie avait profité à près de 3 000 prisonniers des prisons de Mournaguia, Borj Amri et Siliana, dont les cellules sont combles. Ces « droits communs » se sont mêlés aux jeunes migrants tunisiens frappés par le chômage qui les pousse à émigrer. « Il y a beaucoup d’hypocrisie dans la gestion des éloignements, déplore un cadre de préfecture. L’une des techniques employées par les consulats de certains pays consiste à délivrer les laissez-passer consulaires après le délai maximal de rétention. Si bien que le clandestin est déjà dehors quand le document nous parvient. Par ce stratagème, le pays émetteur se soustrait à un retour qui le dérange, mais il peut prétendre officiellement avoir honoré notre demande.»
C’est pour contourner ce genre de difficultés que la loi Collomb sur l’immigration a porté le délai de rétention de 45 à 90 jours. Mais un préfet l’affirme : « Cet allongement du délai, astucieux sur le principe, nous pose d’autres problèmes : nous avons encore plus de cas à gérer que de places disponibles en centre de rétention administrative (CRA) pour préparer l’éloignement. » « Absolument exact ! confirme le sénateur LR François-Noël Buffet, spécialiste de ces sujets à la commission des lois de la Haute Assemblée. Le taux d’occupation des CRA est actuellement de 98 %. » L’Intérieur dispose de 2 000 places tout au plus dans toute la France pour gérer les sans-papiers mais aussi tous ceux qui possédaient des documents d’identité et qui doivent partir.
« Il faudrait doubler le nombre de places en CRA », estime un agent de préfecture. Ce qui n’est pas au programme du gouvernement. Un vrai sujet pour le futur ministre de l’Intérieur.
JEAN-MARC LECLERC
Source : Le FIGARO
“Ce qu’a dit Macron à propos de la Tunisie est vrai”, a martelé le président de la République Béji Caïd Essebsi en réaction au vibrant hommage formulé par le président français en sa faveur. “C’était un discours spontané,” se réjouit-il dans une interview accordée à la chaîne télévisée France 24 en langue arabe.
Les mots de Macron saluant les efforts déployés par le pays pour défendre les droits des femmes tunisiennes et le combat acharné contre l’obscurantisme reflètent, en effet, “le fond de sa pensée”, confie Caïd Essebsi en tenant à remercier le chef d’Etat français.
Contrairement aux préjugés, la Tunisie est en train de tracer son sillon malgré les embûches, assure-t-il en disant: “la Tunisie va vers l’avant, vers le progrès, même si tout ne va pas dans le bon sens.”
Pour le président de la République, la Tunisie est prête à présider le sommet de la francophonie en 2020. Il a mis en relief, à cet effet, la profondeur de l’enracinement de la langue française en Tunisie. “La langue de Molière perce en Tunisie depuis plus de 70 ans” note-t-il.
Entre le sommet de la ligue arabe qui se tiendra en mars 2019 et le sommet de la francophonie en 2020, la Tunisie semble bien en selle pour accueillir ces deux manifestations majeures. “La Tunisie est un Etat africain, arabe, islamique et méditerranéen” souligne Caïd Essebsi en ajoutant que le pays réussira dans toutes ces diverses appartenances.
Il a rappelé que le pays a réussi, par ailleurs, à faire face à l’extrémisme grâce à son ouverture sur le monde qui ,selon lui, ne date pas d’aujourd’hui. “Nous avons rayonné sur l’Afrique ainsi que sur l’Europe, et nous continuons à préserver cet héritage” réplique-t-il.
Même si le président de la République a préféré ne pas aborder les dossiers nationaux notamment ceux relatifs à la crise économique et politique du pays, il a toutefois fait un petit clin d’oeil au gouvernement d’union nationale. Il a indiqué que ce projet qui a donné ses fruits à un moment donné est arrivé à son terme. “C’était un choix judicieux. Nous ne le regrettons pas. Mais ce n’est pas valable pour tous les temps et et tous les lieux”, dit-il.
Encore en marge des travaux du 17ème sommet de la francophonie qui se tient les 11 et 12 octobre 2018 à Erevan en Arménie, le président de la République a accordée une autre interview à la même chaine, mais cette fois-ci en langue de Molière.
Béji Caïd Essebsi a rappelé que la “francophonie n’est pas une création française, c’est une création africaine.” Son véritable départ, d’après ses dires, est le continent africain. Il a noté que c’est en effet l’oeuvre en grande parti de trois chefs d’Etat africain à savoir le tunisien Habib Bourguiba, le sénégalais Léopold Sédar Senghor et le nigérien, Hamani Diori. “Ils sont les véritable pères de la francophonie, parmi d’autres bien sur”, lance-t-il
Il a insisté, encore une fois, sur la place des femmes en Tunisie et l’importance de défendre leurs droits. “Les femmes sont la clé de voûte de la démocratie,” précise-t-il.
D’ailleurs, il a révélé dans une déclaration accordée à Mosaique Fm que la Tunisie n’a pas attendu le reste du monde pour accorder les droits aux femmes.
Source : huffpostmaghreb.com
Dix-sept personnes ont été condamnées à mort jeudi par un tribunal militaire en Egypte, pour des attentats contre des églises en 2016 et 2017 ayant fait 74 morts au total, a-t-on appris de sources judiciaire et sécuritaire.
19 peines à perpétuité. Par ailleurs, selon les mêmes sources, 19 personnes ont été condamnées à la prison à perpétuité et 10 autres à des peines de 10 à 15 ans d’emprisonnement, dans ce dossier concernant les attentats du Caire, en décembre 2016, et de Tanta et Alexandrie, en avril 2017. Ces attaques avaient été revendiquées par le groupe Etat islamique (EI).
Ces 46 accusés ont été reconnus coupable du meurtre de 74 personnes et de tentative de meurtre de 152 autres, présentes sur les lieux au moment des attentats, ont ajouté ces sources. Les poursuites ont été abandonnées contre deux personnes, décédées pendant la procédure.
Des attentats qui avaient entraîné l’état d’urgence. Le 11 décembre 2016, un attentat suicide contre l’église copte Saint-Pierre et Saint-Paul au Caire avait fait 29 morts. Le 9 avril 2017, en pleine célébration du dimanche des Rameaux, des kamikazes de l’EI avaient pris pour cible deux églises du nord de l’Egypte, à Tanta et à Alexandrie, faisant 45 morts. Le président Abdel Fattah al-Sissi avait alors instauré l’état d’urgence, prolongé depuis à plusieurs reprises.
Les Coptes, une minorité qui se plaint de discriminations. Les Coptes forment la plus importante communauté chrétienne d’Egypte, laquelle est estimée à environ 10% de la population. Ils se plaignent de discriminations et sont victimes d’attaques régulières d’extrémistes. Depuis fin 2016, les attentats de l’EI ont tué plus d’une centaine de chrétiens. Depuis la destitution par l’armée du président islamiste Mohamed Morsi en 2013, les autorités affrontent plusieurs groupes extrémistes, notamment dans le nord du Sinaï, théâtre d’une insurrection de l’EI.
Source : Europe1
Citant des responsables turcs et américains, le Washington Post affirme que son collaborateur saoudien Jamal Khashoggi a été torturé puis tué au sein du consulat d’Arabie saoudite à Istanbul, où il avait disparu mardi 2 octobre.
Vu publiquement pour la dernière fois mardi 2 octobre, le journaliste saoudien Jamal Khashoggi aurait été tué, selon les informations du Washington Post (en anglais) publiées jeudi soir. Il avait disparu après une visite au consulat d’Arabie saoudite à Istanbul, où il venait chercher des documents pour son mariage à venir.
Un commando dépêché à Istanbul. Le journal américain, auquel Jamal Khashoggi collaborait fréquemment depuis un peu plus d’un an, affirme que les autorités turques détiennent des preuves audio et vidéo de l’assassinat du journaliste dans le consulat saoudien, où l’on entendrait sa voix et celle d’hommes lui parlant en arabe, ainsi que des sons qui laisseraient entendre qu’il aurait été torturé.
« Les enregistrements montrent qu’une équipe de sécurité saoudienne a détenu Jamal Khashoggi dans le consulat, avant de le tuer et de démembrer son corps », écrit le Washington Post. Un « commando » de 15 personnes aurait d’ailleurs été dépêché depuis Riyad et serait arrivé dans la capitale turque le jour de la disparition du journaliste.
« Un air de ‘Pulp Fiction' ». Ce mardi 2 octobre, ils seraient arrivés dans deux vols séparés à Istanbul, logeant dans deux hôtels à proximité du consulat. Il aurait même apporté avec eux une scie à os, selon les mots d’un officiel turc au New York Times. « Un air de Pulp Fiction« , selon lui. Le corps démembré aurait ensuite été « mis dans des caisses avant d’être transféré par avion hors du pays », selon une source au Washington Post.
Washington et Istanbul continuent d’accuser Riyad, qui dément. Depuis dix jours, au début du mois, la pression de la communauté internationale s’est accentuée sur l’Arabie saoudite, à qui la Turquie et les États-Unis ont demandé des comptes à de nombreuses reprises. De son côté, Riyad continue de démentir l’assassinat du journaliste exilé aux États-Unis depuis 2017, tombé en disgrâce auprès du prince Mohammed Ben Salmane après avoir critiqué la couronne saoudienne dans ses écrits.
Source : Europe1
C’est de ces étoiles qui sont loin d’être atteintes d’amnésie que l’écrivain, journaliste : Youcef Zirem nous parlera ce Dimanche 14 octobre 2018 à 15 h au café littéraire l’impondérable.
« Les étoiles se souviennent de tout » est le dernier roman de Youcef Zirem qui raconte l’histoire des Kabyles de Paris qui ont sauvé beaucoup de vies durant la Seconde Guerre mondiale.
Durant cette rencontre littéraire, Youcef Zirem fera la présentation de son ouvrage qui finira par une vente dédicace.
La rencontre aura lieu au café littéraire l’impondérable
320 rue des Pyrénées
– Métro : Jourdain.
– Ligne : 11.
– Bus : 26.
– Arrêt : Ermitage
Soyez les bienvenus, l’entrée est libre.
La rédaction
Quelques heures avant l’ouverture du sommet d’Erevan, l’Arabie saoudite a décidé de reporter sa demande d’adhésion à l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF). Cette décision devrait éviter un débat qui s’annonçait vigoureux entre les chefs d’État francophones.
La missive est parvenue à la présidence arménienne du sommet de la Francophonie et à la secrétaire générale de l’OIF mercredi 10 octobre, quelques heures avant l’ouverture du sommet d’Erevan.
Dans cette lettre, signée de l’ambassadeur d’Arabie saoudite à Paris, Khalid bin Mohammed al-Angari, et dont Jeune Afrique a obtenu copie, le royaume affirme vouloir « différer l’examen de sa demande d’adhésion à une date ultérieure ».
La demande d’adhésion de l’Arabie saoudite à l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) avait été initialement déposée lors du sommet d’Antananarivo, en 2016, où son examen avait été une première fois reportée – officiellement car le dossier était incomplet. L’OIF a, depuis, envoyé une mission d’observation en Arabie saoudite, laquelle a rédigé un rapport à l’intention des chefs d’État francophones. Ces derniers devaient en principe étudier la candidature saoudienne lors du sommet d’Erevan, qui s’ouvre ce jeudi 11 octobre dans la capitale arménienne.
Ce dossier s’annonçait toutefois comme l’un des plus épineux de ce sommet. Certains États africains, comme le Maroc et le Sénégal, sont favorables à l’adhésion saoudienne. Mais celle-ci apparaît en revanche inacceptable pour d’autres Etats, comme le Canada, en conflit diplomatique avec le royaume – son ambassadeur a été expulsé en août dernier.
Pour le Canada, qui a consenti à retirer son soutien à la secrétaire générale sortante de l’OIF, Michaëlle Jean, dans le duel qui l’oppose à la ministre rwandaise des Affaires étrangères, Louise Mushikibo, c’est donc un soulagement. Justin Trudeau, arrivé mercredi soir dans la capitale arménienne, va pouvoir aborder le sommet plus sereinement.
Tant que les élus font dans le bricolage politique en se focalisant sur des futilités au lieu de s’attaquer aux véritables fléaux et maux de la société ! Tant que les élus ne prennent pas à témoin la population pour l’informer de ce qu’il est advenu des activités électives (réunions, bilans et missions) auprès des autorités hiérarchiques dès lors où tout baigne dans le doute et le floue la désintégration de la société ne feras que gagner du terrain. Une Route de quelque classification qu’elle soit n’est pas la propriété d’un groupe ou d’un village.
La démission de l’État, en plus de leur médiocrité, leur incompétence et une succession de tares fait dans la haine, l’arrogance pour plonger la population dans un pourrissement bien planifié. Le silence assourdissant et complice de l’état à tous les niveaux, s’installe finalement dans une stratégie des plus diaboliques qui est de faire payer à la Kabylie son refus de
courber l’échine ou de vivre sous la tyrannie des imposteurs. Le printemps noir de 2001 restera cet os au travers de la gorge de ces sanguinaires.
De la dégradation de notre quotidien (Kabylie principalement) les responsables de l’état en font leur label et leur marque de fabrique !! Cet autre questionnement qui demeure récurent est le fait que les brigades de gendarmerie ou de la sureté ne trouvent aucune difficulté à franchir ces barrages & quo; Le deal et la complicité sont manifestement aveuglants.
Voilà à présent pourquoi la population se doit de se prendre en charge dans l’urgence en restant éveillée et vigilante. Une des plus honteuses et aveuglantes mésaventures, vécue il y a deux ans, a été celle vécue par la population de la ville de Bejaïa et ses environs qui est privée d’eau depuis 10 jours, avec une panne des plus grotesques la conduite principale venant du barrage
de Tichi Haf rompue. Une conduite bricolée comme tous les projets mafieux du pays et qui a moins de cinq années.
Loin de cultiver la haine ou jouer au pyromane, je me pose la question une fois de plus à propos de la population qui reste silencieuse. Finalement, l’état a réussi son tour de force et sa stratégie de diversion avec des piqûres de rappel et des perfusions dans la somnolence et l’indifférence.
Bihmane Belattaf
La joie, le bonheur et l’euphorie qui a rempli les cœurs des authentiques Algériens en cette année de l’indépendance n’ont pas duré longtemps. Une année après (1963) Hocine Aït Ahmed regagne le maquis pour combattre les successeurs du colonialisme français. Le combat était inégal, il fut vite arrêté et mis au cachot. Plus de 450 Algériens, tous, ancien moudjahid sont tombés au champ d’honneur sous les balles des voleurs de l’indépendance.
Depuis, une rivière de sang sépare la Kabylie des enfants de la France colonialiste.
Le printemps 1980 était le précurseur d’une dynamique et d’une intelligence inouïes de la nouvelle génération qui aspire au mieux a su comment déjouer le carnage que voulait semer les enfants de la France en Kabylie. Certes, c’est révolté, mais de manière pacifique. Le monde nous regardait, ces illégitimes ne pouvaient rien devant la volonté et la bravoure du peuple authentique.
Depuis, le panarabisme claironné par Boumediene et ses sbires est tombé aux oubliettes de l’histoire, même s’il a laissé derrière un islamisme radical. Aujourd’hui notre combat doit se retourner contre cette nébuleuse jusqu’à son éradication. Pour le reste, les générations futures prendront le flambeau afin de mener à terme notre juste combat.