«Livrez-les aux chiens, ces démocrates-laïcs-intellectuels ».
Nous voilà retournés 20 ans en arrière ; avec une nouvelle méthode de chasse. Une prédation récurrente avec une meute qui obéit, car affamée et assoiffée. Les maîtres des lieux qui ne sont plus garants de la survie du peuple encore moins de l’intellectuel même à minima. Un « Remix » et un « décalquage » dans le sang la frustration et la douleur, celui de la décennie noire ; à la différence que numériquement nous ne savons pas si cette décennie est projetée sur 10 ans.
Le pays qui peine à se relever, non pas que les moyens lui manquent, mais replonger la tête à ce peuple dans ces cauchemars à défaut de se soumettre il y a la culture de la concomitance.
Comme pour les maîtres de l’art et les artisans de la plume, ils sont sommés de rire et d’écrire un peu moins, tout en caressant dans le sens du poil, euh de la barbe ! Mais juste plaire aux zombis et aux démons.
C’est encore réapprendre à marcher sur des œufs, car le terrain Algérie est miné, le Fanatisme comme l’islamisme sont des monstres rampants et des cellules dormantes qui avaient tout le temps pour métastaser, par la grâce de nos dirigeants qui savent ce qu’ils font.
Le terrain est à eux, les artificiers sont absents et les pompiers mis en congé, le gigantesque brasier s’attise par les fous de Dieu.