De falsifications de l’histoire à la manipulation des masses, d’erreurs en mensonges, ils veulent prendre en otage une partie de l’opinion publique sur un dossier « L’officialisation de la Langue Tamazight, qui est un dossier clos donc irréversible. Ces énergumènes qui ne pèsent plus rien sur la scène politique s’agitent pour se repositionner sur l’échiquier politique. Trop tard le coup de feu est tiré, que vous le vouliez ou pas désormais, cette langue est nationale et officielle à ses enfants de lui donner la dimension qu’elle mérite et de la sortir de son hibernation.
Les Algériens et Algériennes aspirent à l’union de toute sa composante et lui donner cette dimension de nation avec toute son intelligence qui aspire à faire de ce pays une véritable puissance. Tirant sans scrupule sur les rédacteurs de cette constitution argumentant que la langue arabe est en danger, ils se placent dans la posture, ô combien hasardeuse comme leurs prédécesseurs, pour revenir à la case départ des années noires. Le vrai, seul contre tous. Mais ils ont tort. Et nous n’avons pas affaire à ces nouveaux manipulateurs, mais à des imposteurs qui veulent travestir l’histoire de l’Afrique du Nord en général et de l’Algérie en particulier. Il faut donc rétablir la vérité. Non pas celle prônée par ces gens-là et de leurs semblables, mais celle que des milliers de scientifiques dans le monde établissent patiemment, jour après jour, preuve après preuve sur cette mère des langues. Des scientifiques révulsés par la mauvaise foi, le manque d’éthique et les mensonges de ces ignares.
C’est faire bien peu de cas de l’opinion publique que de la traiter comme l’avait fait Djabellah et Mokri, en passant par la dépitée « Députée» Naïma Salhi, et cette grande manipulation dans une école publique républicaine , serait un vrai danger démocratique que de les laisser croire à leurs diatribes et à leurs impostures
Sliman Alem