Des « mesures de restriction de circulation et d’accès au territoire national pour certains dignitaires algériens ont été prises », a annoncé ce mardi Jean-Noël Barrot, ministre des Affaires étrangères. Une décision qui va aggraver les relations algéro-françaises.
Décidément à Paris, on est toujours dans la guerre de mesure contre l’Algérie en vue de la faire plier. Après les déclarations comminatoires du ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau et une large frange de l’extrême droite c’est le ministre des Affaires étrangères qui met les pieds dans le plats.
Des « mesures de restriction de circulation et d’accès au territoire national pour certains dignitaires algériens ont été prises » par la France, a révélé mardi le ministre des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot sur BFMTV.
Le chef de la diplomatie française, qui n’a pas précisé depuis quand ces mesures sont en vigueur ni combien de personnes sont visées, s’est également dit « prêt à en prendre davantage » si la coopération franco-algérienne dans ce domaine « n’est pas reprise ».
La France est manifestement toujours dans la posture, pas dans la diplomatie. Ce qui risque de ne pas régler la crise algéro-française.
La rédaction