Le général Ahmed Gaïd Salah, chef d’état-major de l’armée, reste la vigie dans l’architecture du système antidémocratique face à la rue algérienne.
Le huitième rendez-vous du vendredi des Algériens avec la rue, ce 12 avril, avait un contenu plus politique. La joie de se retrouver et d’affirmer sa force contre le régime en oubliant ses peurs semble déjà de l’histoire ancienne. C’est un combat pour refuser l’organisation d’une présidentielle le 4 juillet que mènent désormais tous les porte-parole et membres de l’opposition qui accompagnent le soulèvement populaire, lequel adhère à ce mot d’ordre et cherche par sa détermination à faire plier le chef d’état-major de l’armée, Ahmed Gaïd Salah.
Source Le Figaro