Je m’incline devant la mémoire de mes frères et sœurs fauchés par les balles assassines de Bouteflika, le nain dictateur et de ses Sbires. Le SS Zerhouni, le chef de meutes Benflis, le renégat Ouyahia, le lâche des sales besognes et tous ces gendarmes mercenaires tueurs.
Une douce pensée à mes jeunes amis tués parfois devant moi et un hommage particulier aux milliers de blessés et à tous les traumatisés du crime perpétré à l’encontre de la Kabylie.
Selon le professeur Mohand ISSAD que j’ai eu le bonheur d’interviewer longuement juste avant sa disparition, il est claire que » Les meurtres perpétrés et les assassinats des jeunes lors du printemps noir est un crime contre l’humanité et voir même, un ethnocide caractérisé. Des armes de guerre ont été utilisées face à des manifestants pacifiques »
Par H.Redjala