« La même mémoire convoque le souvenir de la polarisation frontale qui a
accompagné l’arrêt du processus électoral en 1992 qui offre ainsi au régime
une « garantie sécuritaire » afin de prolonger son règne tout en plongeant la société tout entière dans une décennie de sang étant lui-même juge et partie, et piétinant ainsi, les maigres acquis démocratiques arrachés de hautes luttes. »