Il ne s’agit pas pour moi de renvoyer dos à dos les deux camps cités plus haut, il s’agit de participer modestement à l’émergence d’une réflexion commune et de chercher, avec le plus grand nombre, des pistes pour résoudre un conflit qui peut être un frein pour le Hirak/Amussu voire s’avérer une vraie poudrière et sur le terrain en Algérie et dans la diaspora.
« La même mémoire convoque le souvenir de la polarisation frontale qui a
accompagné l’arrêt du processus électoral en 1992 qui offre ainsi au régime
une « garantie sécuritaire » afin de prolonger son règne tout en plongeant la société tout entière dans une décennie de sang étant lui-même juge et partie, et piétinant ainsi, les maigres acquis démocratiques arrachés de hautes luttes. »